Voyage, voyage !

Ce sont deux textes d’Aurélie Dujarrier : Monologue d’une promenade et Contrariété paradisiaque.

Le lien entre les deux nouvelles est l’envie de partir. Les raisons peuvent être multiples : un nouveau départ, la fuite, chercher un ailleurs, ou vouloir se retrouver.

La voix, les sons de la mer et l’imagination transportent le public dans un rêve éveillé.

C’est un voyage sonore et une expérience sensorielle originale !

Monologue d’une promenade (première nouvelle)

Un voyage sonore,  dans quel but ?

Redonner de l’intérêt et privilégier l’écoute par l’évocation puissante de l’univers sonore.

Fermer les yeux, c’est ouvrir en soi la porte à l’imagination et la création d’images.

C’est une expérience sensorielle qui convoque la beauté comme moteur de bien-être.

Cette évasion temporaire de son quotidien, à portée de main grâce à ses oreilles.

Et ça fait du bien !

Contrariété paradisiaque (deuxième nouvelle)

Le public arrive en douceur de sa promenade imaginaire sur cette île.

Les masques sont enlevés. Les chaises sont tournées dans la même direction.

Les spectateurs se trouvent à présent sur une terrasse de café.

La narratrice se met alors à conter l’histoire d’un couple, Diane et Marius.

Ah, l’amour, toujours l’amour, l’amour toujours ?